top of page
Rechercher
Photo du rédacteurAmélie Silvert

Jouer ensemble à 6 heures de décalage mais en direct. C'est la magie du Kahoot.

Aujourd'hui, quand on veut avoir un contact avec les Etats Unis, ce n'est pas bien difficile. On s'incrit sur Skype in the classroom, on poste son profile avec ses demandes et on cherche un projet qui intéresse et qui peut s'intégrer au travail de la classe.

Les professeurs Américains sont très intéressés par des mystery skype sessions, mais la dernière fois, avec une professeur de maths de collége de Géorgie, on a décidé d'aller plus loin.

C'est vrai que cela prend du temps à mettre en place. Il faut trouver une heure et un niveau qui correspondent.

Avec les aléas climatiques, la neige aux USA, les problèmes techniques, pas d'accès à Skype dans leur collège, des problèmes de niveaux, on a mis un an à se mettre d'accord.

Et c'est vendredi dernier pendant une heure que nous avons non seulement fait de l'Anglais, avons deviné doù nous étions, puis joué à un jeu en direct.

image2_edited.JPG
IMG_9222.JPG
FullSizeRender (1).jpg
image003.jpg
B4sIOiyIEAAgBEL.jpg

Pour ça il faut créer des jeux en ligne su Kahoot.

La petite astuce, c'est de faire son Kahoot et de partager son écran avec Skype.

De cette façon, on peut se connecter en direct.

Vous trouverez un Tuto et apprendrez à faire un Kahoot ici:

Après, on peut se connecter et le nombre de joueurs est presque illimité.

C'est la réussite assurée.

Les obstacles peuvent être techniques, pas de borne wifi, pas assez de portables ou pas tablettes

C'est vraie que la fracture numérique se voit entre la France et les USA, toutes les écoles que nous avons rencontrées utilisent des Ipads comme des stylos.

La différence aussi c'est que l'enseignant américain ne se demande pas si il va utiliser les tablettes mais quand...

Les liens que créeent le jeu, la compétition et le partage sont palpables et visibles dans la classe.

Pendant cette séance, nous avons fait un exercice de maths dont les questions en Anglais ont posé des problèmes aux 1er S ce qui a permis de combler la différence d'âge et de programme.

Nous en avons fait un autre avec des petits bouts de choux de 7 ans qui nous ont parlé de leur elfe sur l'étagère qui raconte au Père Noël toutes les bêtises qu'ils ont faites.

Puis encore une fois, nous avons joué à un quiz de Noël.

A refaire sans modération et adaptable à tout type de contenu, du plus ardu, au plus collaboratif, pourquoi ne pas mettre en place une compétition entre deux classes?

Les idées ne manquent pas, la classe de langues s'ouvre, les élèves s'insvestissent.

14 vues0 commentaire
bottom of page