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Photo du rédacteurAmélie Silvert

Les fake news avec des peintures.

Dans son documentaire, Where to invade next, Michael Moore nous présente une vision idéalisée de l’Europe et en particulier de la Finlande qui réussit bien en matière d’éducation. Ils gardent l’enseignement des arts et de la musique dans les écoles.

En anglais, on peut facilement faire référence à des œuvres d’art qui sont présentes dans de nombreux textes de littérature ou qui inspirent les écrivains ou activistes modernes.

Traiter la notion de « fake news » au travers du travail de faussaire permet aux élèves d’éxercer leur sens critique et d’observation.

Début de la séquence :

Une anecdote à propos d’un musée français qui a découvert que la moitié des œuvres (80 sur 140) étaient en fait des copies, lance la séquence.

Ensuite, les élèves ont un montage photo sur lequel ils s’expriment en interaction.

Un support textuel qui leur permet de trouver les preuves de la manipulation de 3 œuvres sur 4.

De la plus évidente, « The Arnolfini couple » à la plus subtile, la jeune fille à la perle dont on peut deviner la subtile différence dans les couleurs entre l'original et la copie.

On travaillera plus précisément sur Christina's world de Andrew Wyeth avec le jeu des différences.

On peut ensuite discuter avec playbuzz qui permet de créer des cartes de discussion qu’on élimine.

Puis on distribue des textes qui décrivent les œuvres avec pour mission de trouver des preuves du forfait.

On continuera avec un travail par équipes sur des extraits du films Mona Lisa’s smile et on terminera avec une chasse aux trésors grandeur nature au musée des Beaux Arts à Lille grâce à Metaverse.

Voici la partie numéro 1 qui consiste en une chasse aux trésors géolocalisée.

Les élèves qui seront à proximité pourront y jouer.

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